Dernière mise à jour :  9 janvier 2024

Histoire

#220403

L'histoire et la généalogie sont intimement liées; les deux parcourant côte à côte le cours du temps, l'une expliquant l'autre. Nous vous proposons de scruter ces deux aspects de l'histoire des Frigon.

 

Les notes historiques qui suivent s'appuient sur des faits relevés dans la plupart des cas dans des archives de première main.

 

Les différentes sous-sections ont été structurées de la façon suivante:

 

(1386-1946)1   Les traces des Frigon en Europe

  • 1386: année de la plus vieille inscription Frigon trouvée en Europe
  • 1946: année de la plus récente inscription Frigon trouvée en Europe 

 

(1670-1724)2   La première famille Frigon en Amérique, l'implantation

  • 1670: année du mariage de François Frigon dit Lespagnol et de Marie-Claude Chamois
  • 1724: année du décès de François Frigon dit Lespagnol 

 

(1695-1833)3   

La seconde génération et l'enracinement en Mauricie et au Centre-du-Québec

  • 1695: année de la première union de la seconde génération; Madeleine Frigon et Jean Prime dit Laventure
  • 1833: dernière année de l'établissement des familles Frigon exclusivement en régions Mauricie et Centre-du-Québec

 

(1774-1807)4   L'établissement des sept lignées

L'Association des Familles Frigon a établi qu'il existe sept lignées agnatiques.

- Trois frères établis à Sainte-Geneviève-de-Batiscan. Voir leur ascendance

  1774, Lignée Pierre-Antoine "Pr-An"    1780, Lignée Louis-Augustin "Ls-Au"    1782, Lignée Joseph "Jo"

- Quatre frères établis à Maskinongé (2) et Louiseville (2). Voir leur ascendance  

  1797, Lignée Paul-Antoine "Pa-An"    1789, Lignée Louis-Michel "Ls-Mi"

  1801, Lignée Pierre-Olivier "Pr-Ol"     1807, Lignée Joseph Marie "Jo-Ma"
 

(1841-1900)5   La migration des Frigon   

  • 1841: année de migration hors Québec du premier Frigon

  • 1900: année de fin d'analyse de la migration des Frigon  

 


  1. La plus vieille inscription Frigon trouvée en Europe concerne un Pierre Frigon, mainte fois mentionnés de 1386 à 1408 dans les vieux livres de la Société d'histoire et d'archéologie de Senlis près de Paris. En 1408, il est mentionné comme un des gouverneurs de la ville de Senlis. La plus récente inscription concerne Antoinette Frigon (né Teissier) au cimetière communal de Pouzilhac. 

  2. L'année et le lieu de décès de Marie-Claude Chamois nous sont inconnus.

  3. Les familles Frigon sont exclusivement dans ces deux régions jusqu'en 1833. Par contre, un célibataire Frigon s'établit à Montréal dans les années 1748; Louis Frigon voyageur, marchand, trafiquant en fourrures, commerce sur la rue Saint-Paul.
    En 1833, la famille Désiré Frigon de Louiseville, s'établit pour 8 ans à Yamaska en Montérégie. Suite au point 5.
    En ​1838, Michel Archange Frigon inscrit comme cultivateur, charpentier et journalier à Saint-Stanislas et Louiseville, s'établit à Montréal. Le répertoire de la Ville de Montréal pour l'année 1843/1844 le cite comme demeurant "Coin St-Charles Boromée, près de la rue Mignonne". La rue Mignonne était l'actuel boulevard De Maisonneuve entre le boulevrad Saint-Laurent et la rue Saint-André.

  4. L'établissement des lignées, à la quatrième génération, est la méthode choisie par l'Association des Familles Frigon pour faciliter la classification des descendants de François Frigon dit Lespagnol et Marie-Claude Chamois. La période choisie correspond à l'intervalle de formation des familles en utilisant leurs années de mariage.
    La lignée agnatique signifie qu'on s'intéresse à la lignée des hommes par les mâles.

  5. Suite du point 3. En 1841, Désiré Frigon quitte Yamaska en Montérégie et s'installe à Massena dans l'état de New York. Ses descendants portent les patronymes Frego et Fregoe.